Qui est le père de Charles de Flahaut ?
– l’avis de 50 écrivains –
« Elle avait été la maîtresse de l’abbé de Périgord, et le fils qu’elle avait eu en 1785 passait pour l’enfant de ce sémillant boiteux » Cet ancien amant de la reine Hortense (Charles de Flahaut) passait pour être le bâtard de Talleyrand |
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« Morny flattera Eugénie sans y paraître, avec sa hauteur souple de petit-fils de Talleyrand… » | ||
« Au printemps de 1785, le 21 avril, exhale son premier cri un nouveau-né intempestif, aussitôt baptisé sous la triple invocation des saints Charles, Auguste et Joseph. » | ||
« …Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord, futur ministre et prince de Bénévent, qui lui faisait une cour assidue. Elle finit par tomber dans ses bras, et, de cette liaison, était né un fils, Charles. » | ||
» Ce jeune Flahaut était-il, comme on l’assure d’Eugène Delacroix, un fils de Talleyrand ? « | ||
« Elle avait été la maîtresse de Talleyrand dont elle avait eu un fils, le comte de Flahaut, » | ||
« Morny, né des amours de la reine Hortense et du comte de Flahaut (lui-même fils naturel de Talleyrand), on lui avait cherché un père putatif… » « …le comte de Flahaut, écuyer de Napoléon 1er, fils naturel de Talleyrand » « Fils naturel de Talleyrand et de la comtesse de Flahaut » |
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» Morny tenait de son grand-père très précisément ses qualités éminentes et ses faiblesses » | ||
« Car le colonel Charles de Flahaut, tout en se nommant légitimement Flahaut, était pourtant le propre fils de Talleyrand. » | ||
« Flahaut lui-même, s’il cherchait dans son ascendance, y retrouvait Talleyrand » | ||
Carmona Michel |
Morny, vice-empereur (Fayard)
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» le général-comte de Flahaut, lui-même enfant naturel de Talleyrand » » Le 21 août 1785, Adélaïde donne naissance à un garçon qui prend le nom de Charles-Joseph de Flahaut de La Billarderie. Le choix du prénom Charles est une manière transparente de suggérer la paternité de Talleyrand, qui se prénomme lui- même Charles-Maurice. » |
« on chuchote autour de cette naissance dont la paternité est, nul ne l’ignore, attribuée à Talleyrand » « D’autres soupçons se portent sur Gouverneur Morris qui rejette avec vivacité l’accusation sur Talleyrand » « Nul ne songe à nommer Windham dont l’intrigue amoureuse est demeurée secrète… et désormais le doute subsiste… » « Charles de Flahaut, … dont la paternité fut attribuée à Talleyrand » « le père du duc de Morny, était-il, en réalité, le fils de William Windham ? » |
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« C’était lui le père du petit Charles de Flahaut… » « il est question du fils naturel de Talleyrand « |
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« le beau Flahaut, fils naturel de Talleyrand » | ||
« C’est donc lui (Talleyrand) qui était le père du petit Charles de Flahaut… » « Le jugement du fils d’Hortense et de Flahaut (Morny), – du petit-fils de Talleyrand ! – est sûr. |
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« Celle qui tint le plus de place dans son cœur, peut-être parce qu’elle lui donna un fils, est l’intelligente et raffinée Adélaïde Filleul » « Mme de Flahaut ne donnera pas un autre enfant à Talleyrand » |
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» l’innocente victime du cynique évêque, qui vient de s’embarquer pour l’Amérique, l’abandonnant avec le fils né en 1785 de leur liaison « | ||
« Nul n’ignore à présent que Flahaut est le fils de Talleyrand et de Mme de Souza » « nous nous trouvons en présence de trois générations naturelles, le père, le fils et le petit-fils » « Telle est l’image que son fils, Flahaut, put garder de lui » « Flahaut n’eût pas été le fils de Talleyrand et de Mme de Souza s’il n’eût mêlé l’amour aux combats » « Talleyrand, qui fut blessé de cette ingratitude filiale… » |
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« L’ambassadeur de France à Vienne était alors le comte de Flahaut, fils naturel de Talleyrand » | ||
» Charles de Flahaut, général d’Empire, lui-même né des amours illégitimes de Talleyrand et d’Adélaïde de Flahaut… » | ||
« Mme de Flahaut, alors maîtresse de Talleyrand, dont elle avait eu un fils, qui aura lui-même, de sa liaison avec la reine Hortense, un fils, le futur duc de Morny » | ||
… on aurait du mal à retrouver le véritable père de Charles, si les contemporains n’avaient pas désigné Talleyrand, qui d’ailleurs s’est nommé lui-même par la protection sensible qu ‘il accorda, dans les diverses époques de sa puissance, au fils que Mme de Flahaut mit au monde en 1785. | ||
De Sédouy Jacques-Alain
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Le Congrès de Vienne / L’Europe contre la France
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« …Adélaïde de Flahaut sera sa maîtresse en titre de 1783 à 1792. Elle lui donnera un fils qui sera plis tard l’amant de la reine Hortense et sera le père du duc de Morny. » |
« Ses lettres à Charles de Flahaut, récemment acquises par les Archives nationales, confirment la filiation. Leur ton familier, l’usage du tutoiement, très rare chez Talleyrand, les multiples démarches qu’il entreprend pour le pousser dans la carrière, militaire sous l’Empire, diplomatique sous la Monarchie de Juillet, prouvent assez la particularité de leurs liens… » | ||
« La jeune épouse eut une faiblesse pour l’abbé de Talleyrand, aujourd’hui un des grands dignitaires de l’Empire et de cette faiblesse était né le jeune homme qu’Hortense avait distingué. » | ||
« La Bédoyère était cousin de Flahaut, fils naturel de Talleyrand « | ||
« cette Mme de Flahaut qui avait été la maîtresse de Talleyrand et en avait eu le fils, qui rendra la reine Hortense mère du duc de Morny » | ||
« Le comte de Flahaut est né des amours de Talleyrand et d’Adélaïde de Flahaut, fille soi-disant de Louis XV et d’Adèle de Longpré. » | ||
» L’un est le général-comte Charles de Flahaut, fils naturel de Talleyrand » « Remarquons au passage que le prénom de « Charles » est commun à Talleyrand et à M de Flahaut, ce qui permet de joindre l’utile à l’agréable… » « L’évêque est chez Mme de Flahaut. Il a demandé à dîner avec son fils. C’est bien un dîner de famille. » « Elle est même sur le point de donner un autre enfant à Talleyrand. » « Quand on descend des Talleyrand-Périgord, même de la main gauche, on ne peut oublier les traditions de la chevalerie » « comme jadis Talleyrand avait obtenu pour son fils le poste de sous-ingénieur de la Marine » |
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Dupuy Micheline
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La duchesse de Dino
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« Charles de Flahaut, le fils que Talleyrand avait eu de sa liaison avec Mme de Flahaut devenue Mme de Souza » |
« Né au Louvre des amours d’Adèle-Marie Filleul, alias marquise de Souza-Bothelho, et de Talleyrand ou de l’homme politique anglais William Windham, le jeune Flahaut suit sa mère et Talleyrand en Angleterre en 1792 » | ||
» Lui-même a pour père Talleyrand » | ||
« L’évêque est chez Mme de Flahaut ; il a demandé de dîner avec son fils arrivé d’aujourd’hui. C’est bien un dîner de famille. « | ||
» En 1785, Adélaïde de Flahaut mit au monde Charles-Joseph, fils de Talleyrand » « Son père suivait attentivement ses progrès à l’école, de même que son grand-père, le prince de Talleyrand » « il avait assisté à l’agonie de son père, le prince de Talleyrand » |
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« Elle a de lui (Talleyrand), en 1785, un fils qui s’appelle Flahaut malgré tout » « Le père de Morny, fils naturel de Talleyrand a été l’un des amants d’Hortense. » |
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« Mme de Flahaut (dont il eut un fils, le père du duc de Morny) « | ||
« On sait la fortune du fils de l’abbé de Périgord : il fut général, aide de camp de Napoléon 1er, ambassadeur sous Louis-Philippe, grand chancelier de la Légion d’honneur « « Si Talleyrand avait vécu jusqu’à 1851, il aurait estimé que le coup d’Etat du 2 décembre, dont son petit-fils fut le principal organisateur… » « On se rappelle que celui-ci, né en 1785, avait pour mère la comtesse de Flahaut, plus tard comtesse de Souza, et pour père l’abbé de Périgord » « On sait que le comte de Flahaut, fils de Talleyrand, fut lui-même en 1811 le père du futur duc de Morny, dont la mère était la reine Hortense » |
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» Talleyrand fut rendu personnellement responsable de cette naissance » | ||
« Et il en résulta un accident de naissance, dont « l’évêque » fut considéré comme l’auteur. Né le 21 avril 1785, Charles-Joseph de Flahaut de La Billarderie, assurèrent des gens bien informés, était le fruit des assiduités heureuses de M de Périgord auprès de la comtesse » | ||
« Ni Mme de Flahaut, devenue plus tard comtesse de Souza, ni Charles-Maurice de Talleyrand ne songeront jamais, d’ailleurs, à démentir l’opinion – unanime – qui donnait pour père à Charles de Flahaut l’abbé de Périgord. » | ||
« Gouverneur Morris… affirmera nettement les liens étroits qui unissent « M. d’Autun » à Charles de Flahaut. » | ||
Milza Pierre
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Napoléon III
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« …le jeune et séduisant comte de Flahaut, fils adultérin de Talleyrand… » |
« …elle avait eu un certain nombre d’amants parmi lesquels on citait Talleyrand, qui était resté son ami et auquel la chronique scandaleuse attribuait la paternité du beau Charles. » | ||
« Leur liaison quasi conjugale fut même couronnée par la naissance d’un garçon. Personne n’a jamais pensé que l’enfant pût être de M de Flahaut qu’on ne voyait jamais . » « il fit remettre son testament à Mme de Flahaut : il l’instituait sa légataire universelle, c’était reconnaître à la fois son amour et son fils » « la même femme qui élevait le petit-fils de Talleyrand, c’est-à-dire l’enfant que Charles de Flahaut avait fait à la reine Hortense, le petit Demorny qui deviendra le duc de Morny « « Talleyrand aimait beaucoup ce fils qu’il avait protégé en 1815 car Flahaut était resté fidèle à Napoléon » |
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Parturier Maurice
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« mais on sait qu’il était irrégulièrement le fils de Talleyrand » « Morny était donc en réalité le petit-fils de Talleyrand et celui de Mme de Souza » « ‘il amena à Talleyrand, rue Saint-Florentin, le petit Auguste, son petit-fils naturel. » |
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« Charles de Flahaut, soi-disant fils naturel de Talleyrand » | ||
« le général Flahaut (Fils naturel de Talleyrand et père du futur duc de Morny) « | ||
« La conséquence inévitable d’une si longue intimité devait se matérialiser en 1785, avec la naissance d’un garçon qui fut appelé Charles, prénom très en usage chez les Flahaut. L’enfant était toutefois et très manifestement de l’amant ecclésiastique et Adélaïde, elle-même, ne chercha pas à dissimuler l’identité du père bien connu dans son entourage sans qu’il y eût besoin de le nommer. » « l’évêque d’Autun s’intéressait aux progrès de son jeune fils, Charles de Flahaut, avec lequel il lui arrivait de dîner » « Elle n’avait pas oublié avec quelle honteuse indifférence son ex-amant les avait traités, elle et leur fils Charles, lorsqu’ils étaient venus en 1792 se réfugier sans ressources en Angleterre où Talleyrand les avait précédés » |
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» Morny,petit-fils de la main gauche de Talleyrand. » | ||
« M de Talleyrand hésita, puis répondit en rougissant : « C’est que, sire… celui-là, c’est mon fils. » » « le fils naturel de Talleyrand » « Nous savons déjà qu’en réalité le futur gendre de lord Keith avait Talleyrand pour père » « Je suis fils de reine, petit-fils d’évêque, j’appelle mon frère « sire », et tout cela est naturel. » (Morny) « Talleyrand, père de Flahaut et grand-père de Morny » |
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« Le 21 avril 1785, la future grand-mère de Morny accouche d’un garçon : Auguste-Charles-Joseph qui doit tout à Talleyrand et rien au comte de Flahaut, sauf son nom. » « Entre Talleyrand, son père, et Morny, son fils, « c’est le maillon faible », dit un peu sévèrement sa biographe, Françoise de Bernardy » « son (Morny) grand-père, Talleyrand… » |
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« Quoique son demi-frère – et son cadet de trois ans – né de la liaison de la reine Hortense et de Flahaut, donc petit-fils de Talleyrand » | ||
« Fils de Talleyrand et d’Adélaïde de Flahaut » « Talleyrand resta toujours en contact avec son fils et veilla à promouvoir la carrière militaire du jeune Charles. » |
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« …Morny, fils de Flahaut, lui-même fils naturel de Talleyrand. » | ||
« le duc de Morny … descendant supposé de Talleyrand… » | ||
Vidal Florence | Caroline Murat | « Beau comme un dieu, il est le fils naturel de Talleyrand. » |
« une amie qui fut liée à Talleyrand… et dont elle a fils, Charles, qui deviendra le « mari de coeur » de la future reine Hortense » « Charles de Flahaut; fils de Mme de Souza et de Talleyrand ». « Morny, le fils de Flahaut, le petit-fils de Talleyrand… » |
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« … Mme de Flahaut, qui lui avait pourtant avoué qu’elle était unie à Talleyrand par un » mariage de cœur » et que Charles était le fils de Talleyrand. « | ||
« Charles de Flahaut était sans doute le fils du parlementaire anglais William Windham » |