21 février 1852 | Charles de Flahaut et Louis-Napoléon (Dialogue) | les biens d’Orléans

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Il s'efforça en vain de le faire renoncer à la confiscation des biens des d'Orléans ou tout au moins de soumettre la mesure à une commission. Louis-Napoléon se dérobant, Flahaut lui dit tristement qu'il le regretterait :
- "C'est bien, Monseigneur, je déplore du fond du coeur que vous persistiez dans votre malheureux projet. Je n'hésite pas à vous dire que vous le regretterez aussi quand il sera trop tard, et que ce sera pour vous ce que la condamnation du duc d'Enghien a été pour votre oncle.- Oh ! répliqua le Prince, c'était là chose totalement différente.- Certes, Monseigneur, autant que l'assassinat diffère du vol."

Dans l'entourage de l'Empereur (Emile Dard / Plon / p.63)
Flahaut (Françoise de Bernardy / Perrin / p.325)
Le secret du coup d'Etat (Guedalla-Kerry / Emile-Paul 1928 /p.282 à 287)

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"Mon cher ami,
A la veille de partir pour la séance du Conseil d'administration en Belgique de la Vieille Montagne, j'ai été surchargé de besogne. Une affaire entre autres m'a pris beaucoup de mon temps, parce que les réunions ont eu lieu chez moi ; mais je le regretterais peu si elle aboutit (comme j'ai tout lieu de le penser) à la combinaison qui nous est favorable - et vous n'en serez pas fâché non plus. C'est tout simplement les cérusiers qui demandent à traiter avec les blocs de zinc pour substituer notre produit au leur, et proposent au gouvernement d'interdire l'usage de la céruse. Vous concevez facilement quel coup cela porterait à la céruse dans le monde entier et quels bénéfices en résulteraient pour la Vieille Montagne et le blanc. Je n'ose encore me bercer de cet espoir, cependant, c'est très avancé, car les cérusiers sont tous d'accord et je les ai reçus chez moi. Ils sont très abattus, très effrayés de la guerre que leur fait l'administration et sentent que leur fin est proche. Ils préfèrent mourir avec indemnité que gratis ! Si tout cela arrive, je reverrai mes affaires comme autrefois.
Je ne devrai rien à personne et je ne commettrai plus les mêmes fautes. Je liquiderai bel et bien ma fortune de façon à être à l'abri de tout événement. Je vais rembourser Coutts ces jours-ci et faire venir ici mes tableaux, que je vendrai mieux à Paris qu'à Londres, à l'occasion de la vente du Maréchal Soult (19 mai 1852 - Soult était mort le 26 octobre 1851). Les amteurs de tous les pays y viendront.
Le tribunal de première instance s'est déclaré compétent avant-hier (Il s'agit de la confiscation des biens des d'Orléans : les d'Orléans avaient interjeté appel de la décision présidentielle) C'est une grosse affaire moralement parlant. Cela a remué l'opinion publique. C'est bien malheureux - l'oubli est ce que le Président peut espérer de mieux. Quelle malheureuse idée, et bien coupables sont ceux qui la lui ont inspirée. Il ne sait pas quel tort celui lui a fait à l'étranger et à l'intérieur et quelle belle situation de confiance aveugle il a perdu.
Lavalette est de retour à Paris, très glorieux de son succès diplomatique. Je ne connais pas assez la question pout le juger, seulement il paraît qu'il l'a trouvé engagée tellement qu'il ne pouvait reculer sans honte ; il ne l'aurait jamais [exhumée ?] Prenez garde que Valewski (sic) soit un peu trop anglais et ne nous brouille avec la Porte, tout en nous faisant perdre notre influence en Egypte ; - et qu'est-ce que les Anglais font pour nous sur un point quelconque du globe ? Rien !
Voilà Thiers parti. - J'en suis ravi. Je devais partir moi-même hier pour Bruxelles. J'ai été si souffrant que j'ai passé la journée dans mon lit. Je n'irai que demain. J'irai peut-être vous voir après.
Je vous embrasse tous tendrement.
AUG."
 

Morny, l'homme du second empire (Dufresne / Perrin /p.182)
Le duc de Morny (Gerda Grothe / Fayard / p.133)
Le secret du coup d'Etat (Guedalla-Kerry / Emile-Paul 1928 /p.297 à 299)

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"C'est une sottise très grave de confisquer les biens de la famille d'Orléans ; le gouvernement peut s'aliéner ainsi les gens les plus précieux, ceux qui tiennent la plus large part de la richesse industrielle et bancaire du pays. Quelle pitié de voir gâter une si belle affaire !"
 
* Le coup du 2 décembre (Henri Guillemin / Gallimard / p.338-339)

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" Mon cher Auguste
Je vous fais mon compliment sur les succès que vous espérez de vos transactions avec les cérusiers. J'avoue cependant que je ne comprends pas à quelle indemnité ils peuvent prétendre pour abandonner une industrie qui est reconnue nuisible à ceux qu'elle emploie, et je ne comprends pas davantage de quelle poche elle sortira. Enfin, je m'en rapporte à votre capacité et serai charmé de voir arriver le jour où mes actions feront entrer quelque chose dans ma poche.
Je serais ravi de l'acte d'indépendance du tribunal de première instance, si je pouvais me flatter que cela ouvrira les yeux du Pr[ésident] sur ce que le décret du 22 janvier a d'injuste et d'impolitique. J'ai toujours été convaincu qu'en revenant sur sa décision, du moment où il pouvait avoir des doutes sur sa justuce, il se ferait le plus grand honneur, et je n'ai pas changé d'avis. Mais, comme je suis convaincu que les mêmes conseillers qui l'ont lancé ou encouragé dans cette funeste voie feront tout au monde pour l'y maintenir, je ne me berce à cet égard d'aucune espérance.
Leur but est surtout par là de l'isoler des honnêtes gens et de l'avoir entièrement entre leurs mains, et au fait ils y ont parfaitement réussi. Je regrette donc que la décision du tribunal ait donné à cette affaire un nouveau retentissement, et qu'elle aura malheureusement pour effet inévitable de produire un acte violent de l'autorité contre le pouvoir judiciaire. Cela fera au Prince encore plus de tort dans le pays, car, comme le disait M. de Talleyrand, "Malgré les évolutions, la France est un pays de légalité".
Je fais mon compliment à Félix de la gloire qu'il tire de son succès ; avec quelques succès de ce genre nos affaires extérieures seraient dans un bel état. Si vous ne connaissez pas encore l'affaire des Lieux-Saints, je ne me donnerai pas la peine, ou à vous l'ennui, de vous expliquer de nouveau ; car je crois l'avoir fait verbalement et par écrit dans tous ses détails.
Pour ce qui est de Walewski, je ne le crois pas disposé le moins du monde à être trop anglais. Il me paraît au contraire fort en garde contre l'influence que le gouvernement britanique pourrait vouloir exercer dans ses intérêts et contre les nôtres. Selon moi, il pousse cela même un peu plus loin qu'il n'est raisonnable de le faire. Mais il a une tête véritablement politique ; il comprend ce qu'est la grande diplomatie. Il sent très bien que La Porte a besoin de notre appui, mais ne peut pas nous être un allié utile ; et que ce n'est que par l'entente de toutes les grandes puissances que la vie peut être conservée à ce corps moribond. Ce n'est pas en soutenent en 1840 les intérêts du Pacha contre le Sultan, et en 1852 ceux du Sultan contre le Pacha, que nous contribuerons à soutenir l'intégrité de l'Empire Ottoman.
Au reste, mon cher ami, ce qui me paraît important pour notre dplomatie, c'est de maintenir de bons rapports entre le Prince et les grandes Puissances. Il est impossible qu'il ne soit pas amené à se faire Empereur, et de la nature de ces rapports, dépendra la manière dont ce changement sera accueilli. Soyez certain qu'avant l'affaire des Lieux-Saints, on était tout autrement disposé pour nous à Petersbourg qu'on ne l'a été depuis. C'est à cela que je m'attache, et il est impossible que vous ne soyez pas de mon avis, qui si pour rétablir notre protection exclusive des Chrétiens en Orient à laquelle toutes les puissances chrétiennes sont aujourd'hui opposées, nous nous brouillerons avec l'Empereur de Russie, en cherchant à priver les Grecs schismatiques de leur part du Saint-Sépulcre ; et si en même temps en poussant le Sultan à des attaques contre l'autorité du Pacha, nous aurons - de gaieté de coeur, et sans servir aucun intérêt sérieux - gâté nos rapports avec deux puissances avec lesquelles il nous importe d'être en bonne intelligence.
J'espère du reste que le Président s'occupera beaucoup lui-même de la direction de ses Affaires Etrangères. Je lui crois des idées fort saines et j'avoue qu'il n'y a que lui qui me rassure à ce sujet.
Vous savez que Philip n'a jamais envoyé les caisses de vos tableaux et qu'il prétend ne pas en avoir connaissance. Si donc vous avez réellement l'intention de les vendre bientôt, il faut vous y prendre un peu d'avance pour les préparatifs nécessaires à leur transport. Si vous aviez dû les garder nous eussions préféré que vous ne les fissiez venir qu'après la saison ; car lorsqu'ils seront décrochés, notre salon aura besoin nécessairement d'être repeint, et cela eût été plus commode dans la saison morte. Mais vous comprenez bien que cette considération est sans importance s'il s'agit de les vendre à un moment favorable.
Adieu. Je vous embrasse.
Je désire que vous lisiez la partie politique de cette lettre au Pr[ince]"
 
* Morny, l'homme du Second Empire (Dufresne / Perrin / p.182)* Le secret du coup d'Etat (Guedalla-Kerry / Emile-Paul 1928 /p.300 à 304)

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(les fautes ont été volontairement laissées)
Vous avez trahi les secrets d'une famille que vous devez respecter les douleurs, aussi j'apprend que la duchesse d'Orléans vous a fermé sa porte comme à un misérable et un lâche tel que vous.
Dites à L. Napoléon que c'est un voleur et un assassin, qu'un terme viendra que sa tête et celle de ses complices payeront pour ceux qu'ils auront fait mourrir.
UN ROUGE.
[adresse]."Monsieur Comte de Flahaut,"Aux Champs Elisées, au coin de la rue de la Réunion."

Le secret du coup d'Etat (Guedalla-Kerry / Emile-Paul 1928 /p.287)

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Monseigneur,
Je n'ai pas abusé de la permission que vous m'avez donnée de vous écrire, mais j'espère que vous ne trouvez pas mauvais que j'en use aujourd'hui pour vous exprimer le plaisir que m'ont fait quelques-uns des décrets que vous avez rendus dernièrement. C'était la bonne manière de faire taire la presse malveillante, ou de la réduire à l'impuissance (liberté de la presse virtuellement supprimée), car il est impossible qu'elle n'enreconnaisse les bons résultats. Ils ont été aussi une arme puissante pour ceux de vos partisans qui désirent le succès de votre cause et, croyez-bien, Monseigneur, en désirent le triomphe.
Permettez-moi cependant de saisir cette occasion pour vous parler du mauvais effet que produit ici la prolongation du séjour des exilés. Ils sont reçus dans tous les salons, et la modération de leur langage ajoute encore au blâme de la mesure qui les tient éloignés de leur pays.
On a répandu aussi le bruit que M. Thiers obtiendrait la permission d'y rentrer, s'il en faisait la demande par écrit ; et on s'étonne qu'une telle condition soit un obstacle au retour d'un homme que n'a frappé aucun jugement, aucune condamnation ; et même ceux qui ne blâment pas le mesure en elle-même, trouvent que de la part d'un gouvernement fort et juste, elle ne saurait être justifiée que par la nécessité. Or, ddisent-ils, cette nécessité n'existe pas, puisque, sur leur demande, la permission de rentrer serait accordée.
Vous avez plusieurs fois daigné m'écouter avec bonté, mais j'ai cependant besoin d'ajouter que c'est votre intérêt surtout qui me préoccupe ; que depuis deux ans je suis brouillé avec M. Thiers ; que je n'ai pas aperçu sa figure depuis que je suis en Angleterre, et qu'il serait bien étonné s'il savait que je plaide sa cause...
* Le secret du coup d'Etat (Guedalla-Kerry / Emile-Paul 1928 /p.294 à 296)

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" Il (Charles) m'a parlé avec une franchise qui m'a convaincu qu'il dit, du moins, ce qu'il croit vrai. Il ne pense pas qu'il y ait le moindre danger que le président franchisse les frontières… Il m'a montré les copies par sa fille de ses lettres particulières au président ; elles sont très sages, font un tableau exact de ce qui s'est passé et contiennent d'excellents avis… Il m'a montré aussi, mais en stricte confidence, la lettre très adroite qu'il a écrite pour dissuader le président de l'envoyer, lui ou quelqu'un d'autre, annoncer à Sa Majesté le résultat du plébiscite."
 
* Flahaut (Françoise de Bernardy / Perrin / p.315)

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" Lorsque je comptais venir à Paris (croyais retourner à Paris), Lord John Russell m'avait demandé (prié) de vous rapporter (rendre compte d') une ou deux conversations que j'avais eues avec lui. Elles étaient relatives aux débats parlementaires (aux discussions qui vont avoir lieu dans le Parlement) sur (les motifs du) le renvoi de Palmerston. Comme il est dû à une question regardant la France (et comme les affaires de la France en ont été l'occasion), Lord John était particulièrement désireux de vous donner l'assurance que, quoi qu'on puisse dire (quelle que fût leur nature), vous pouviez être certain que rien ne troublerait les amicales relations entre les deux gouvernements et les deux pays (rien ne serait changé dans les relations amicales des deux gouvernements et des deux pays). Si je peux me permettre d'exprimer une opinion, je crois que vous pouvez compter sur cette promesse.
Peut-être, monseigneur, me permettrez-vous aussi de saisir l'occasion de vous parler de quelque chose me concernant (un peu de moi).
Je vous demande de croire que c'est avec un vrai plaisir (une joie bien vive) que je me suis replacé (rallié), le 2 décembre, sous le drapeau auquel j'avais consacré ma jeunesse. Quand j'ai eu l'honneur de prendre congé de vous, les phrases aimables (les paroles bienveillantes) par lesquelles vous m'avez exprimé votre approbation ont été une récompense suffisante des faibles services que j'avais été assez heureux pour vous rendre. Si, depuis lors, je me suis trouvé en désaccord (dissentiment) avec certaines mesures que vous avez jugé nécessaire de prendre (vous avez cru devoir adopter) et si j'ai décidé de retourner à ma retraite et à mon inactivité, je tiens à vous donner l'assurance que j'ai fait seulement ce qui me semblait droit dans la circonstance (je n'ai été mu que par un sentiment de convenance) ; ma gratitude envers vous est telle que rien ne serait plus contraire à mes idées ou à mes sentiments que de faire preuve d'active opposition (que de me laisser aller à un acte d'opposition) ou, plus encore, d'une désapprobation marquée (une manifestation éclatante de désapprobation)
Ma conduite pendant le coup d'Etat a causé le plus vif mécontentement à la famille royale déchue et m'a attiré l'hostilité la plus vive de tout le parti orléaniste. Ne croyez pas, Monseigneur, que je me sois flatté d'atténuer en rien ces dispositions par ma conduite actuelle - j'ai trop d'expérience pour cela ; mais je n'en tiens que davantage à ne donner à personne le droit de m'accuser d'avoir manqué de reconnaissance.
Croyez, Monseigneur, que je continuerai ici la tâche que je sui venu y remplir, que mes voeux les plus ardents sont pour votre succès, et que je regrette du fond de mon âme d'être privé de l'honneur d'y contribuer par mes services. Et croyez aussi que je serai toujours prêt, comme au 2 décembre, à vous donner des preuves de mon dévoûment , si jamais il pouvait vous être utile.
Veuillez agréer avec bonté, Monseigneur, l'hommage de mon profond respect.
FLAHAULT"
* Flahaut (Françoise de Bernardy / Perrin / p.323-324)* Le secret du coup d'Etat (Guedalla-Kerry / Emile-Paul 1928 /p.269 à 271)

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Monsieur,
En revenant à Londres, je m'aperçois que la publication, dans le Times, d'une correspondance privée qui aurait été échangée entre un ministre du Cabinet et une personne influente à Paris a trouvé très sérieusement créance ici : on suppose qu'il est fait allusion à moi. Un journal du matin ayant même prononcé mon nom, j'estime qu'il appartient à d'autres comme à moi-même, de déclarer que cette information est absolument sans fondement.Quand j'était à Paris (j'en suis parti le 25 décembre), je n'avais aucune correspondance ni communication, directe ou indirecte, avec acun personnage au pouvoir ici.Puiss-je vous demander de vouloir bien insérer cette lettre dans le Times ?J'ai l'honneur d'être, Monsieur, votre humble et obéissant serviteur.
Comte de Flahaut.

Le secret du coup d'Etat (Guedalla-Kerry / Emile-Paul 1928 /p.225-226)

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Lord L[ansdowne] rentre à Londres pour de bon le 26 et, comme Shelburne parle de s'y rendre même avant, je n'aimerais point rester seule. De plus, j'ai toujours le sentiment pénible que papa retournera à Paris et que plus tôt j'irai en ville, plus j'aurai la chance de le voir. Je ne puis cependant m'empêcher d'espérer qu'il ne fera pas partie de ce Sénat dont l'action, en bien ou en mal, ne nous sera jamais connue.
Je prie l'un d'entre vous de me dire pourquoi M de Rémusat est en exil. Est-il simplement indésirable, ou a-t-il conspiré depuis le coup d'Etat ? En effet il n'était pas parmi les personnes arrêtées au début, à ma connaissance du moins.
Lord L[ansdowne] va à Londres pour un nouveau Conseil de Cabinet demain. Pauvre homme ! Il passe par de tristes jours en ce moment ! Je souhaite que lui aussi sorte définitivement de ses embarras.
Quelle est l'attitude de Lord Beauvale dans l'affaire Palmerston ? Je me réjouis que vous ayez été à Brocket : celui lui aura fait plaisir.
* Le secret du coup d'Etat (Guedalla-Kerry / Emile-Paul 1928 /p.247)