3 juillet 1815 | Hobhouse (Récit) | capitulation de Paris

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" A quatre heures, la bataille n'avait pas encore commencé. Je me rendis chez Mme de Souza et la trouvai en larmes. Je fus abasourdi par les nouvelles. Son fils, le lieutenant général, venait de quitter l'armée. Tout était perdu. Paris avait capitulé, alors que 80 000 hommes fanatisés étaient sous ses murs. Il était décidé à dénoncer la trahison et les traîtres le soir, à la Chambre des pairs."
 
* Flahaut (Françoise de Bernardy / Perrin / p.160)