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Contenu de la correspondance
"Je vis presque seule, tu devines combien il m'est nécessaire d'avoir Auguste et comme je l'aime (…) Quand tu reviendras, nous le mettrons en pension. D'ici là, comme dit papa [M de Souza] avec raison, le mal, si tant est qu'il y en ait, est fait et il n'y a plus que la consolation d'avoir auprès de moi un petit être qui m'aime et que j'aime."
"Je n'ai de consolation et de distraction que par le petit Auguste, qui vient très bien"
Morny, un voluptueux au pouvoir (Rouart / Gallimard / p.58)
Le Duc de Morny (Loliée / Emile-Paul / p.40)