22 juillet 1811 | Mme de Souza à Mme d’Albany | couture

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Contenu de la correspondance

" Pour moi, ma très chère, je ne lis ni n'écris quoi que ce soit; je vivote dans la plus insigne paresse. J'ai mal aux yeux et je raccommode le plus gros linge de ma maison, car même les élégants ouvrages de femme ne me conviennent plus. Si vous me voyiez ourler ou marquer des serviettes qui ressemblent assez à des torchons, vous en ririez, mais cela m'occupe et repose ma vue. "
* Madame de Souza et sa famille (baron André de Maricourt / Emile-Paul frères / p.271)* lettre intégrale (le portefeuille de Madame d'Albany, par Léon-G Pélissier)