21 juillet 1808
Charles de Flahaut à sa mère
" J’ai écrit il n’y a pas longtemps à ma tante (Hortense)... Comme elle a été bonne ! Je l’ai souvent jugée sévèrement, mais, si mon esprit a été injuste, mon coeur en a souffert.
Je ne pourrais vivre sans ma tante et toi. Fais-lui faire un petit cachet, gravé d’une feuille d’aloès, avec autour cette devise : Praemium aevi aurea dies - un jour d’or est la récompense d’un siècle d’attente.
Le prince de Neuchâtel vient de m’annoncer que je vais être son aide de camp. Je suis fier d’obtenir ce poste et de le devoir à celle à qui déjà je dois tant. "
" Comment pourrait-elle aller s'enterrer à la campagne [en Hollande] sans même une maison à Paris. "
* Flahaut (Françoise de Bernardy / Perrin / p.66)* Hortense de Beauharnais (Françoise de Bernardy / Perrin / p.173 et 186)
21 juillet 1808 | Charles de Flahaut à sa mère | cadeaux pour Hortense
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