" La nouvelle qu’elle est enceinte me peine plus que je ne saurais dire...
Ne le lui répète pas, car elle est déjà suffisamment malheureuse. Donne-moi souvent de ses nouvelles. Je suis très inquiet, je ne sais pourquoi, mais je crains de grands ennuis.
Que ta cousine se porte bien est tout ce que je souhaite. Rien autre ne compte, car je n’aime que toi et elle...
... Sophie (Hortense) serait capable d’oublier trois ans d’indifférence si elle savait son ami malheureux, mais elle oublierait trois ans de bonheur plutôt que de risquer le moindre désagrément. "
* Flahaut (Françoise de Bernardy / Perrin / p.64-65)* Hortense, reine de l'Empire (Constance Wright / Arthaud / p.128)* Hortense de Beauharnais (Françoise de Bernardy / Perrin / p.184)
janvier 1808 | Charles de Flahaut à sa mère | inquiétude sur Hortense
Toutes les correspondances de l'année
Contenu de la correspondance