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Contenu de la correspondance
En avril 1849, Thiers confie à Flahaut que son beau-père, le banquier Dosne, lequel "a travaillé toute sa vie pour assurer une fortune à ses enfants" a vu "cette odieuse révolution de 1848 en détruire une partie", et Thiers, en gémissant, prétend ne disposer plus désormais que d'un "avoir très modique".
* Le coup du 2 décembre (Henri Guillemin / Gallimard / p.34)