" Croyez, Monseigneur, que lorsque je parais si facilement consentir à quitter votre service, c'est surtout pour vous sortir d'embarras et n'être pas un obstacle à ce repos d'esprit que j'espérais avoir contribué à voue rendre.
Agréez, Monseigneur, toutes mes excuses et croyez que quelle que soit l'issue de cette triste affaire, vous avez en moi un serviteur dévoué. Je n'ai jamais appartenu qu'à l'Empereur et à vous. Les quinze années de la Restauration ont prouvé que je ne changeais pas facilement d'affection. L'avenir vous prouvera que vous pouvez compter sur la même fidélité."
* Flahaut (François de Bernardy / Perrin / p.61-262)
Février 1838 Charles de Flahaut au duc d’Orléans | démission
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