" Il (Charles) m'a parlé avec une franchise qui m'a convaincu qu'il dit, du moins, ce qu'il croit vrai. Il ne pense pas qu'il y ait le moindre danger que le président franchisse les frontières… Il m'a montré les copies par sa fille de ses lettres particulières au président ; elles sont très sages, font un tableau exact de ce qui s'est passé et contiennent d'excellents avis… Il m'a montré aussi, mais en stricte confidence, la lettre très adroite qu'il a écrite pour dissuader le président de l'envoyer, lui ou quelqu'un d'autre, annoncer à Sa Majesté le résultat du plébiscite."
* Flahaut (Françoise de Bernardy / Perrin / p.315)
3 janvier 1852 | Granville
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