Octobre 1815 | Charles de Flahaut à sa mère | santé d’Hortense (2)

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Contenu de la correspondance

"Ma cousine est mieux. Que pouvez-vous penser quand vous me dites de pardonner ? C'est moi qui demande constamment le pardon. Mais pour ce qui est de toute pensée de bonheur, c'est fini. L'impression a été faite et ne peut plus s'effacer."
"Ma cousine est mieux, mais comme je vous l'ai dit notre bonheur est détruit. Mille baisers à Auguste (l'enfant)."
* Le cœur de la reine Hortense (Bordeaux / Plon / p.133)