p.248-249
Ses (Napoléon 1er) remarques sur la mort de Duroc, et les raisons qu’il allégua contre le suicide, soit dans une discussion calme et spéculative, soit dans des moments de violente émotion, comme à Fontainebleau (« Aussi ne suis-je pas tout à fait étranger à des idées religieuses, » dit-il au général Sébastiani et au comte de Flahaut, après leur avoir donné des raisons mondaines pour ne pas se tuer) en 1814, impliquent à la fois, la croyance à la fatalité et à la Providence.