" J'ai souffert comme une malheureuse, écrit son aïeule, le 29 décembre 1835, à M. Le Roi, et je vous assure que mal passé n'est pas un songe, mais voilà assez parlé de moi ; je suis dans la joie de mon coeur parce que j'attends Auguste après-demain. Ce pauvre enfant a cruellement souffert, dans cette triste et courte campagne, d'une dysenterie affreuse.Ce n'est pas commode quand on bivouaque dans la boue. Enfin je le verrai et votre coeur comprendra toute ma félicité. Si je savais un mot plus fort qui exprimerait mieux les délices du troisième ciel, je m'en servirais. "
Morny et son temps (Parturier / Hachette / p.30)
Flahaut (Françoise de Bernardy / Perrin / p.251)
Madame de Souza et sa famille (baron André de Maricourt / Emile-Paul frères / p.368-370)